Élus

Depuis le début des temps, à une époque si reculé que personne ne s'en souvient, c'était la paix sur le continent.

Mais un jour, la guerre éclata. Causé par la rivalité existant depuis toujours entre les habitants du Sud et ceux du Nord, le centre fût forcé de se joindre au combat s'il ne voulait pas que ses terres servent de champ de bataille à ces deux civilisations qui se détestaient. Ce règne de violence était établi depuis fort longtemps, mais les habitants cherchaient encore à atteindre le rêve de paix, posant leur espoir sur cette prophétie qui indiquait l'arrivé de l'élu.

Celui-ci pourrait arrêter la guerre en détruisant la cause de la rivalité insensée des peuples de chaque bout de la terre. Cette raison, personne ne la connaissait, mais l'élu le saurait tout au fond de lui et pourrait régler le conflit qui sévissait sur le continent depuis le début des combats.

(Ce JDR est réservé à Myrianna et Ahtnamas)

Plusieurs années plus tôt, les sages du village d’Ordon ont découvert un enfant aux dons extraordinaire. Déjà, à 10 ans, il arrivait à soulever des poids incroyable et était le meilleur chasseur de son village en entier. Sûr d’avoir trouvé l’élu, les sages se sont assuré qu’il ne manque de rien et soit élevé comme un roi. Justement cette façon de l’élever l’ont rendu, à l’âge de 20 ans, prétentieux et un peu trop sûr de lui.
Il détestait la couleur de ses cheveux, blonds, donc il les teintait avec un mélange qui donnait une couleur noirs aux cheveux et qui ne décollait pas. Il gardait ses cheveux à l’épaule, dont plusieurs mèches descendaient parfois dans ses yeux. De ses longs cheveux, on voiyait parfois deux oreilles, quelque peu pointues et ce depuis le début de sa vie, qui encadraient son visage mince aux yeux sombres. Musclé et assez grand, toute les femmes, et adolescente, d’Ordon en étaient folles. Pour l’instant il ne se préoccupait pas du fait qu’il soit l’élu et préfèrait profiter de l’absence de guerre dans ce coin du continent.

Naarik se promenait dans les bois, un arc à la main. Il avait fait le pari avec les meilleurs chasseurs qu’il reviendrait avec une superbe prise. Il était donc parti avec son arc et un carquois exagérément décoré dont il aimait le style, trouvant qu’il allait bien avec son statu. Avec son épée et son poignard dans leur fourreau respectif, à sa taille et dans une poche intérieur de l’une de ses bottes, il faisait son chemin à travers les arbustes. Naarik était habillé de son éternelle veste, posée sur un vêtement qui, au départ, était une chemise et qui était maintenant déchiré à plusieurs endroits. Un pantalon en coton, sali en plusieurs endroits, cachait ses jambes en se terminant poussé au fond de ses bottes en cuir.

( Élus Naarik10

)

Amanda était caché derrière un arbre. Ses doigts fins à la poigne de fer tenait solidement un arc. Ses vêtements aux couleurs de la nuit permettait à la femme de se fondre dans l'obscurité. Ses yeux verts en amande était à peine visible, cacher par sa chevelure noire qui complétait son camouflage. Ses cheveux était soigneusement taillé pour atteindre la moitié de son dos. Une ceinture de cuir ceignait sa taille fine, et une dague ainsi qu'un quarquois y étaient fixés. Elle retira une courte flèche terminée en pointe par une pierre taillé qu'elle encocha. Amanda fit de léger pas dans le sentier forestier creusé par le passage des animaux. Ses bottes atténuaient le son qui aurait pu indiquer son arrivée à l'animal qu'elle traquait. Elle visa et décocha sa flèche qui alla se ficher directement dans le flanc du daim qu'elle poursuivait. L'animal mourru sur-le-champ, la flèche étant entrer assez profondément dans le corps de la bête pour causer des domages irréparable.
Amanda prit le daim par les pattes et l'ammena jusqu'à sa maison, une cabane en bois amménagé profondément dans la forêt. Elle entra dans son logis et jeta la bête sur la table et s'assit sur un banc en dégainant sa dague. Elle entreprit le travail de se débarasser des parties non commestible et d'apprêter la viande. Elle tendit la peau sur un socle de métal à l'extérieur de la cabane et elle se débarrassa des restes qui ne pouvaient être mangé. Elle prit la viande et la sala afin de la préserver sur une période de temps plus longue. Puis, Amanda déposa cette nourriture dans une boîte en rondins, dans l'habitation.

Ce n'est qu'après plusieurs heures que Naarik trouva enfin l'animal qu'il voulait abattre. Il en avait vu beaucoup d'autres, mais tous étaient trop petits pour qu'il se donne la peine de les prendre en chasse. Alors que Naarik suivait les traces fraîches que la bête avait laissé derrière elle, une pluie fine commença à tomber. Sans se préoccuper des gouttes qui tombaient de plus en plus rapidement il continua d'avancer sur le chemin où les marques du passage de sa proie s'effaçait peu à peu. Au loin il apperçut alors une petit cabane. La croyant vide, il décida de s'y arrêter puisqu'il ne pouvait plus suivre l'animal. Il entra sans même frapper et apperçut une silhouette au fond de l'habitation.

Amanda regarda le nouvel arrivant de la tête au pied. Elle toisa ses vêtements inappropriés pour la forêt et l'arc richement décoré de l'inconnu.
- Que fais-tu chez moi?
Elle termina son examen de l'homme devant devant elle et posa son regard droit dans les yeux de celui qui lui faisait face.

Malgré ses longs cheveux et ses vêtements qui collaient à sa peau, Naarik la regarda lui aussi faisant une rapide observation de la jeune femme qui se trouvait devant lui. Il avait cru que le bâtiment était vide et s'il aurait penser qu'il puisse y avoir quelqu'un qui vivait ainsi dans la forêt, il se serais attendu à voir un homme, mais peut importe.

- Désolé, je ne croyais pas que quelqu'un habitait cette endroit...

Il la regarda dans les yeux.

- Je voulais simplement me reposer de ma rude chasse. Vous savez, il est très difficile d'attraper une proie dans les environs, ajouta-t-il voulant masqué ainsi l'absence d'un animal quelconque.

Amanda pointa la peau tendu à l'extérieur, qu'on pouvait voir par une fenêtre pratiquée dans le mur.
- Elle n'est pourtant pas si rude pour moi!
Elle avait bien remarquer qu'il ne faisait que se prendre pour meilleur qu'il était.
- D'où viens-tu?

Naarik regarda à l'extérieur ou il vit la peau. Il se passa la main dans les cheveux, un peu honteux.

- Je... J'arrive d'Ordon... C'est un village un peu plus loin...

Il bégueyait pris au dépourvu par la réplique de son interlocutrice. Il se tourna de nouveau vers la peau de l'animal qu'Amanda avait réussi à chasser:

- C'est... vous qui avez abattu cette bête?

Il semblait plutôt perplexe: si lui n'avait pu attraper un seul animal dans ce coin de la forêt, comment elle, une simple femme, avait-elle réussi à attraper ce daim.

- Ah! Je vois! Tu est un villageois...

Elle marqua une pause pendant qu'elle observait à nouveau l'homme devant elle. Avec cette information, elle comprit mieux la tenue de son interlocuteur et son arc si extravagant.

- Oui, j'ai moi même abattu cet animal. Pauvre bête... Ne t'en fais pas! Il n'a ressentit aucune douleur!

Elle regarda pendant un instant la peau tendu à l'extérieur. Elle pensa au pauvre daim qu'elle avait abattu et traîner jusque chez elle, sans remord d'avoir ainsi prit une vie. Elle se perdit dans le cours de ses pensées, comme chaque fois qu'elle rammenait une bête de la chasse. Elle reprit ensuite:

- Nous n'avons pas fait les présentation... Ton nom c'est?

Naarik regarda la jeune femme, elle était différente de celles qu'il avait l'habitude de côtoyer dans son village.

- Je me nomme Naarik... et vous?

Il rangea son arc et tendit la main en direction d'Amanda, en signe de présentation.

Amanda lui tendit la main.

- Je m'appelle Amanda... Alors... Vous voulez rester jusqu'à ce que la pluie cesse j'imagine...

Elle continua d'observer Naarik devant elle, n'ayant aucune difficulté à l'imaginer comme un habitant du village malgré qu'il semblait ce considérer comme d'un rang social supérieur.

- Si vous me le proposez!

Naarik s'avança dans la maisonnette sans attendre d'y être invité et alla s'asseoir sur un banc rembourré devant l'âtre, où brûlait un feu crépitant.

Il fit glisser son regard sur les objets qui l'entourant, découvrant ainsi que la petit maison n'abritait qu'un mobilier léger couvert de différent objets qui semblaient, au premier coup d'oeil, inutile et ininterressant. En voyant la fenêtre découpé dans la paroi de bois, il observa plus attentivement la peau étendu dehors à la pluie. Le jeune homme apperçu, dégoûtant du bord de la peau, l'eau qui avait roulé sur celle-ci et qui se mélangeait à la boue, déjà trop aqueuse. Cette eau avait une teinte rouge, rouge comme le sang.

Il détourna le regard à la vue de ce liquide dont il venait de comprendre la nature. Il tendit les mains vers les flammes, attendant son hôte.

Amanda s'approcha du jeune homme, ravalant sa colère. Il aurait quand même pu lui demander avant d'entrer, mais c'était en quelque sorte de sa faute... Elle lui avait poser la question a savoir s'il avait l'intention d'entrer... Il avait dû le prendre pour une invitation. Elle se tira un banc, s'y assit près des flammes et s'aisit un tisonnier près du feu. Elle replaca les bûches et les braises parmis les flammes, puis elle déposa le tisonnier près de l'âtre.

La pluie commençait à tomber moins rapidement, mais elle ne semblait pas vouloir cesser.

Naarik apperçut la jeune femme poser le tisonnier. Vu sa façon d'être élever, il n'avait pas grandi en maturité, ni en sagesse. Il se leva de son siège et s'empara du bout de bois qui servait à déplacer les bûche et commença à donner de léger coups dans le feu, faisant tomber de petites étincelles.

Malgré la tempête qui faisait rage dehors, l'interieur des murs ainsi que les meubles étaient en bois sec. Il suffit qu'une de ces étincelles tombe sur le tapis de banchailles entralâcées pour que le feu commence à gruger le bois.

Naarik se leva d'un bond, lâchant le tisonnier dans les flammes qui s'avançait vers lui, léchant le bout de ses bottes de cuir. Le jeune homme se tourna vers Amanda, serrant ses armes contre lui pour ne pas les perdre dans le brasier:

- ... Oups...

Amanda se leva d'un bond et, d'un air furieux, se tourna vers Naarik.
- Espèce de malade! Tu te rend compte que tu as mis le feu à ma maison?! Maintenant, tu vas m'aider à sortir tout mes objets de valeur d'ici!
Laissant Naarik derrière elle, elle se dirigea vers la petite pièce au fond de la cabane. Elle s'emparra de quelques vêtements et de plusieurs babioles qu'elle fourra dans un sac. elle fit le tour des autres pièces, remplissant de plus en plus le sac qu'elle lança à Naarik lorsqu'elle passa près de lui. Elle décrocha son arc et son carquois près de la porte et s'engouffra hors de la maisonnette qui brûlait, criant au jeune homme de la suivre.

Naarik reçu le sac dans ses bras, le souffle coupé sous le choc du coup. Sans hésitation il sorti de la cabane au pas de course, sentant la chaleur du feu derrière lui.

Lorsqu'il eut rejoint Amanda, assez loin pour ne pas risquer d'être pris dans les flammes, il se tourna vers les flammes qui grugeait maintenant les parties les moins tremper par la pluie.

Les cheveux de nouveau coller sur le crâne, Naarik tourna le regard vers la jeune femme, il se sentait terriblement mal, après tout il avait détrruit sa maison.

- Euh... Comme vous avez nulle part où aller... je peux vous inviter chez moi... au village...

Sujet: Re: Élus Dim 28 Oct 2007, 20:27

Amanda laissa échaper un soupir de découragement. Elle n,avait pas vraiment le choix. Elle n'avait plus de maison et il pleuvait des clous. Elle arracha le sac des mains du jeune homme et commença à avancer dans la forêt. Elle jeta, sans entousiame:

- Village, nous voilà...!

Sujet: Re: Élus Ven 02 Nov 2007, 14:14

Naarik suivit la jeune femme. Elle avait un fort caractère, ce qu'il n'était pas sur d'apprécier.C'était la première fois qu'une femme le traitait de cette façon sans vouloir s'excuser tout de suite après, renversé par son charme. Il était sur que ça ne prendrait pas beaucoup de temps avant qu'elle réagisse comme toute les autres, il en était sur.

Il avançait d'un pas décidé regardant la jeune femme avancer sous la pluie avec le gros sac qu'elle avait rempli. Il se tourna vers elle:

- Je peux transporter ce sac si vous voulez, il doit être très lourd pour vous?

Sujet: Re: Élus Mer 28 Nov 2007, 19:54

Amanda se sentie indignée. Comment cet homme pouvait-il affirmer qu'il porterait son sac avec plus de facilité qu'elle?

- Je n'ai point besoin de votre aide!

Elle ajouta, d'un ton moqueur:

- S'il est lourd pour moi, vous seriez à peine capable de le soulever de terre! De plus, je ne confierait pas mes choses à un abruti, des plans pour que vous les faisiez flamber elles aussi!

Naarik se tut, vexé. Il continua d'avancer, la pluie cessant peu à peu de tomber sur leurs têtes. Vu la densité de la forêt qui devenait de moins en moins épaisse, Naarik sut qu'ils approchaient du village. Il se tourna vers Amanda:

- Nous sommes presque arrivé... plus que quelques minutes...

Il continua de regarder devant lui. Puis ili eu une idée... et si, pour se venger ils décidait de prendre un chemin et de les faire marcher plus longtemps? Elle finirait bien par s'épuiser, elle était une femme après tout. À ce momment là, elle lui demanderais de tenir son sac et alors là qui aurait l'air supérieur?

Mais il changea d'idée. Non pas parce qu'il la trouvait de mauvais goût, mais parce qu'il devait se dépêcher s'il ne voulait pas que les autres chasseurs du village se moque de lui, cela faisait déjà assez longtemps qu'il était parti.

Sujet: Re: Élus Jeu 24 Jan 2008, 21:21

Amanda observa les alentours. Elle se tourna vers Naarik, continuant à avancer:

- Nous devrions presser le pas... La nuit, il y a de drôles de créatures qui rôdent dans cette forêt...

Elle accélera la cadence, sans même attendre l'accord du jeune homme. Plus elle avançait, moins les arbres et le décor environant lui rapellait quelque chose... Elle s'était approchée très peu souvent du village à ce point et c'était avec dégoût qu'elle se dirigeait vers lui de son «propre chef».

Naarik changea d'expression au commentaire de la jeune femme. De drôles de créatures avait-elle dit? Quel genre de créatures? Peu importe, il ne voulait aps rester pour le savoir. Il accéléra lui aussi et reprit le devant de leur petit groupe. Il n'y avait maintenant presqu'aucun arbres près du chemin et celui-ci commençait à être plus voyant dû à la quantitée de marchands ayant foulé ce sol terreux. Le portes du village se découper au loin sur le ciel rempli de nuages de pluie d'un noir qui tranchait sur les toits blanchis du village.

Naarik entra d'un pas décidé dans le village, Amanda sur ses talons. En les voyant entrer, un jeune garçon qui attendait près de la porte d'un établessement y entra. C'était le seul habitant qui se trouvait à l'extérieur, ce qui n'était pas étonnant vu le temps qu'il faisait. Naarik se dirigea vers la grande rue, le meilleur chemin pour se rendre à son gîte. Alors qu'il passait devant le bâtiment où était entré le jeune garçon, trois hommes en sortirent suivit par le garçon qui s'enfuit dans le village. Naarik se retourna, reconaissant ces hommmes:

- Alors les gars, ça va?

L'un deux lui adressa la parole, un regard un peu trop interesser tourné vers Amanda:

- Ouais, c'est vrai que c'est une belle prise cela...!
- Alors, j'ai remporter mon pari? demanda Naarik, jouant le jeu.

L'homme jeta un coup d'oeil vers son compagnon qui s'approchait de la jeune femme. Celui-ci lui répondit par un hochement de tête approbateur. Le troisième homme, un peu plus petit que les autres semblaient n'être pas présent, il regardait le sol de façon étrange. En regardant bien le bâtiment devant lequel il se tenaient tous, Naarik compris aussitôt pourquoi ils agissaient aussi anormalement: ils sortaient de la taverne où ils avaient dû boire un ou deux coups de trop comme à leur habitude.

- Ouais, je crois que tu viens de t'faire un gros montant mon gars! fit le premier homme.

Il sortit de sa poche une bourse contenant quelques piècettes. Naarik l'attrapa et en vida le maigre contenu dans sa main.

- Un gros montant hein...? répondit Naarik.

Peu importe, ils n'avaient pas mis d'argent en jeu, alors autant accepter ce peu de pièces d'argent et de cuivre.

- Et maintenant qu'est-ce que tu vas faire d'elle? ajouta encore l'homme son sourire s'agrandissant en se posant sur Amanda.
- À ta place je n'y penserais même pas... elle a très mauvais caractère... fit Naarik.

L'homme se renfrogna et après avoir grogné il fit signe à ses compagnons de rentrer avec lui dans la taverne, ils avaient passé assez de temps sous la pluie commme cela. Naarik les regarda partir puis recomença à marcher vers sa maison.

Amanda regarda les trois hommes entrer dans la taverne avec dégoût. Elle n'avait pas du tout aimer le regard que ces hommes avaient porter sur elle. Elle s'était sentie comme un smple morceau de viande dont on examinait la qualité. Elle valait beaucoup mieux que ca! Elle trouvait pourtant aussi étrange la conversation que son compagnon de route avec eut avec ceux-ci. En arrivant à sa hauteur, elle demanda, d'un air un peu courroucé:

- C'était quoi cette histoire d'argent? Et qui étaient ces trois hommes?

Naarik se tourna vers Amanda:

- Ce sont les meilleurs chasseurs du village. Ce matin, avant de partir pour la chasse, j'ai parié avec eux que j'apporterais une superbe prise!

Il fit une pose, puis continua:

- Si vous avez remarquer, ils sortaient de la taverne. Ils ont dû boire un coup de trop et s'emporter dans leurs divagations... Quant à l'argent, ils ont dû profiter de leur soulerie pour haluciner qu'on avait parié à l'argent... Ce qui n'est pas une mauvaise chose!

- Ah! Je vois... Ces messieurs m'ont prise pour une «Suberbe prise» c'est cela?

Amanda se sentait rabaisser dans son estime d'elle même... Elle ne connaissait pas beaucoup la vie au village, mais se doutait que les hommes devaient être tous pareils et agir souvent ainsi. Elle continuait pourtant d'espérer que son compagnon avait raison et que ces hommes n'avaient que bu un verre de trop. Elle remerciait Naarik intérieurement de l'avoir défendue même si il avait dit qu'elle avait mauvais caractère... Elle n'arrivait même pas imaginer ce que ces hommes saoûl auraient fait d'elle...